l'éveil

L'amertume de l'échec est insipide , elle laisse un arrière goût pestilentiel dont on a du mal à se séprrer puisqu'elle est la conséquence d'un parcours qu'on croyait salutaire mais qui s'est avéré désastreux et malheureusement irrécupérable. Il s'agit de la thématique de l'éducation et de l'enseignement que l'école publique n'a pas su menée à bon terme, en collaboration avec les parents, les partis politiques, la société civile et d'autres départements du gouvernement (la santé, la jeunesse et sports, l'interieur, les eaux et fôrets, la justice, les élus et bien entendu l'enseignement). C'est dire à quelle point la situation est dramatique et la solution ne pourrait en aucun cas être palliative, il faudrait nécessairement que la méthode à préconiser et la pédagogie à revoir soient radicales, autrement toute tentative serait vaine et inutile. L'intervention primordiale et audacieuse à entreprendre est d'abord politique, à ce stade, gouvernement, partis politiques et société civile doivent associer leurs efforts pour remettre en cause l'ensemble des infrastructures existantes et combler le manque très significatif en terme de places et de classes; il est inconcevable que l'on ait des classes de cours où la musique n'a pas de place et où les espaces dédiés aux activités sportives et tous les équipements qui vont avec sont pratiquement inéxistants. Les matières enseignées sont tellement nombreuses que leur assimilation et leur compréhension par les élèves et les étudiants relèvent de l'utopie; l'environnement socioculturel est d'une ingratitude aberrante au regard de l'école, les adultes au niveau des quartiers populaires ont perdu toute confiance en l'école et ont peu de considération pour ce qu'elle représente, ni pour ce qu'elle fait, le corps enseignant considère les parents d'élèves les principaux complices de leurs enfants quant à la médiocrité pathologique de ces derniers, la formation des enseignants est on ne peut plus inappropriée, l'une des calamités les plus insidieuses que l'enseignement répand sans gène et insouciance est la pauvreté typiquement générale des langues enseignées; qu'un bachelier n'arrive pas à formuler un énoncé correcte à tout point de vue est en soit une énigme problématique à l'intention des enseignants dont toutes les réponses probables ne justifieraient pas cette faiblesse qui frise la platitude.
            Le politique auquel manque le bon sens , l'imagination, la bonne volonté , la bonté du cœur , la raison , la sagesse , la maîtrise des techniques de gestion et de prévisions à moyen et long terme,ne pourrait en aucune manière organiser sa ville , la rendre propre à vivre et à se déplacer, la sécuriser, lui donner l'éclat culturel qu'elle mérite , en créant des espaces de rencontres concurrentiels en tous genres , établir des ponts culturels , scientifiques et sportifs avec d'autres villes , et donner libre cours aux libertés responsables qui s'ancreraient sur les bases des fondements garants de l'unité et l'équilibre pour lesquels nous avons une foi inébranlable. Hobbes précise que si l'on tenait absolument à comparer l'Etat et ses citoyens à un corps et à ses membres, il conviendrait de faire du souverain non pas la tête mais l'âme car ( l'âme est ce par quoi l'homme possède une volonté).

Le vrai politique ne peut donc faire aucune démarche avant d'avoir rendu hommage à la morale, en initiant les citoyens de sa commune ou de sa circonscription à leurs devoirs et à leurs droits comme le stipulent les textes en vigueur; bien qu'en soi la politique soit un art difficile , son union avec la morale est chose possible ,car la morale tranche le nœud que le politique ne peut délier dès qu'elles ne sont plus d'accord . Le droit des hommes doit être tenu pour sacré , quels que soient les sacrifices qu'il en coûte au pouvoir . Toute politique doit plier le genou devant le droit , et elle peut en échange espérer parvenir , quoique lentement , à un degré où elle brillera d'un éclat durable ; compétence, loyauté et honnêteté sont donc les critères de base auxquels l'éducateur politique doit sérieusement s'atteler.
L'éducation est le moyen qui reste offert aux hommes qui , dans leur imperfection , n'auront pas d'autres choix que de se tourner les uns vers les autres pour se corriger et se redresser mutuellement jusqu'à ce qu'ils assurent pleinement la vocation universel de leur liberté.
Si hommes et femmes , universitaires , avocats , ingénieurs , médecins , hommes d'affaires , cadres supérieurs et moyens de l'administration publique ne sont pas fidélisés à la lecture des penseurs qui contribuèrent par leurs pensées , au développement des sociétés actuellement à la pointe des civilisations , c'est que l'éducation ne les a pas préparés à cette tâche d'importance vitale ; c'est pourquoi la majorité de ses hommes et femmes se heurtent au problème épineux , pour eux , des libertés , des droits humains et de la démocratie, dans un contexte social où prédomine le besoin de favoriser la communication pour laquelle les individus, toutes conditions et tous sexes confondus, se préparent pour de meilleures contributions possibles, surtout que, au sein de la collectivité professionnelle de chacun, la volonté de tater les pouls, de distinguer les tendances et de tenter de comprendre les intérêts des uns et des autres, conduirait certainnement à construire un raisonnement aussi proche de la réalité que tous les choix, toutes les décisions politiques émaneraient d'une option aussi concrète que consensuelle ne serait-ce qu'implicitement.
Ce qui constitue le caractère authentique et exceptionnel de la société marocaine dans le concert des nations , depuis plusieurs siècles et dont elle ne mesure pas l'importance , c'est qu'elle est gérée par une monarchie instruite et instruisante , et qu'il ne dépend que d'elle pour s'en inspirer si elle a la sincère intention de contribuer à faire de son pays un havre de paix , une plate forme de prospérité et un exemple d'humilité et de modération pour les peuples qui croient en la diversité et qui veulent bien la partager amplement avec convivialité.
            La politique éduque le peuple , c'est une science qui organise la vie en société en tout et pour tout, c'est à dire que , en prenant soin de sa santé, en lui apprenant à se servir de ses facultés virtuelles comme la raison, l'imagination et la conscience qui sont les instruments d'adaptation au milieu social, en lui faisant découvrir l'intérêt grandissant de la bonne volonté , l'amenant à s'identifier comme acteur politique responsable et indépendant d'opinions et d'idées, sachant manifester sa citoyenneté au grand jour avec modération et sincérité, faisant le bien et bannissant le mal, la société se passionnera pour la recherche du savoir, participera à la perennisation des acquis historiques et à l'édification d'une modernité fidèle au concept du juste milieu, ouverte sur toutes les nations et croit fermement en la communication et l'échange.
            Le citoyen qui ne prend pas une part dominante dans l'action politique ne suivra pas l'évolution économique et sociale de sa ville et ne sera pas en mesure d'objecter ou d'approuver les choix et les décisions que les officiels arrètent avec son consentement du fait de sa contribution au vote, et dans ce cas son erreure, si c'est le cas, serait doublement affligeante, par contre, si c'est la bonne, tous les éloges reviendraient uniquement au décideur, sans pourtant aytant pouvoir assurer un suivi des réalisation et des coûts avancés correspondants et s'enquérir de la véracité de la bonne gouvernance dûment reclamée.
Tandis que les jeunes et les adultes persévérent dans leur action politique pour l'embellissement de leur ville, son organisation urbaine, architecturale, la dynamisation et la multiplication de ses activités d'ordre économique, politique et sociale, les enfants eux subissent et suivent ce que ces adultes leur font faire que ce soit à la maison, sur la voie publique ou à l'école. Dans cet ordre d'idées, d'une entente cordiale entre maris et épouses, d'un consensus politique de toutes les femmes de la ville favorables à une collégialité spécifiquement destinée au suivi de l'évolution des enfants entre la maison où le terme vie privée devrait être dévoilé au su et au vu de représentantes présumées d'une action sociale dont les attributions est de veiller au respect des droits des enfants, la voie publique où tous les citoyens doivent avoir un oeil critique et correctionnel des attitudes contraires aux bonnes manières, sans pour autant porter atteinte à leur susceptibilié, l'école et d'autres établissements de fréquentation à caractère éducatif où les enfants s'initient au savoir être et au savoir faire avec tout celà suppose comme connaissances à communiquer par les enseignants et à acquérir par les enfants, dépendent et la bonne constitution physique des enfants du fait de leur engouement pour le sport et de leur appétit pour tous les aliments énergétiques nécessaires à leur développement dans de meilleures conditions, et le quotient intellectuel le mieux indiqué pour apprendre à magnifier les sciences et à les adapter aux principes de l'éthique pour les rendre plus utiles au genre humain.






Entre la maison qui est un espace privé, qu'il faut maintenir tel le plus longtemps possible, sachant que l'on ne peut écarter définitivement l'idée de recevoir des invités, l'entourage familial devant comprendre que son implication directe dans le processus éducationnel est une erreur qui entrainnerait forcement des conséconses pernicieuses pour l'enfant, et la nature terrestre dont le choix de la variété des sites relève de l'enthousiasme du père à faire aimer à son enfant le milieu naturel et à exciter en lui le besoin grandissant d'en faire son lieu préférable après la maison, la voie publique qui est sensé jouer un role éducatif intermédiaire entre le foyer et différents établissements et milieux naturels ciblés est en réalité, jusqu'à preuve du contraire, l'espace le plus destructif pour l'enfant du fait que les adultes y vivent en concurents féroces pour tout ce que les intérets personnels impliquent comme étant les seuls critères qui permettent à l'individu de se situer dans l'ordre hiérarchique social.
Ainsi la plus grande école d'éducation publique qu'est la rue devrait essentiellement etre gérée par les adultes de toutes les franges de la société, et dans tous les domaines d'activité qui y sont menées, d'où la politique que l'on défini

comme étant l'ensemble des sciences qui organisent la société, à savoir : la philosophie, la sociologie et la psychologie. En étant conscient que, conformément à son étymologie, la philosophie est moins un système qu'une recherche, que l'amour de la vérité est son moteur et son guide, qui'il n'ya pas de philosophie sans ce sentiment, cette force innée, qu'il n'y a pas de vérité sans amour, sans adhésion intime du moi entier: raison, coeur et volonté; les partis politiques qui sont représentés au gouvernement et au parlement et qui représentent le peuple au niveau des collectivités et des circonscriptions , qui ne sont pas integres, aimant leur travail, voulant ce qui est bon et util pour tous , ne peuvent pas s'inspirer des principes politiques qui régissent la communauté de manière propre , efficace et adopter les solutions qui répondent aux attentes que nécessite le développement de la société en veillant à ce que tous les intervenants ( parents, citoyens dans la rue, cadres de toutes les institutions, etc...) s'évertuent honnetement à honorer leurs obligations pour favoriser un passage digne, respectueux et securisé que les enfants sont appelés à empreinter tout le temps entre la maison et tous les horisons du monde extérieur. L'organisation architecturale et urbaine à caractère publique d'une ville ( écoles,dispensaires, bibliothèques, espaces de loisirs, espaces verts, infrastructures sportives, maternelles de proximité ) est le socle indispensable à l'action éducative dont les partis politiques, les parents, le gouvernement, les associations, les élus, la justice et les représentants des droits de l'homme partagent la responsabilité pleine et entière. Aussi, du consensus général de tous ces responsables, dépond l'approche raisonnable de l'esprit de l'éducation et non pas de sa lettre; éduquer c'est primordialement maintenir le corps endurant et souple, c'est à dire orienter pratiquement tous les enfants, sans distinction de sexe vers les activités sportives qui entraineraient d'abors un bon appétit et une meilleure régulation entre le repos la nuit et

l'activité le jour sans grande difficulté, c'est ensuite, comme expliqué auparavant, former les sens à une meilleure perception de ce qui nous entoure au moyen de la nature avec laquelle nous devont maintenir regulièrement de bons rapports , puis par la pratique des beaux arts dont la musique est le ferment de la belle ame, et enfin au moyen de la communication des parents avec leurs enfants chez eux; des adultes en général avec les enfants dans les espaces publiques; de la lecture comme activité culturelle dont le stimulus est très fructueux pour la formation du caractère.
La meilleure vision politique est celle qui allie à la fois les départements de l'éducation et l'enseignement, la santé, la culture, le sport, les collectivités locales, les parents en formation organique collégiale au niveu de chaque ville d'abord comme champs expérimental dans lequel, en plus des infrastructures, toutes les compétences nécessaires en matière de ressources humaines doivent se mouvoir de concert pour dynamiser toutes les activités en créant chez les enfants le sens de l'émulation à travers des compétitions régulières dans toutes les disciplines moyennant des encouragements stimulants. En terme d'accompagnement pour toutes ces activités en ville, les centaines d' universitaires futures sociologues et psychologues seraient appelés à axer leurs recherches, dirigées et supérvisées par leurs professeurs respectifs, dans les différentes écoles, permettant ainsi aux uns et aux autres de mieux cerner les problématiques liés à l'état d'esprit, à l'état d'ame et à l'état psychologique que développent différents sujets, dont le suivi comprendrait l'évolution psychososiologique de l'enfant aussi bien au niveau du foyer, de la voie publique qu'au niveau de l'école.
En terme d'infrastructure, au point de vue santé, d'une part, le dispensaire de chaque quartier devrait élargir ses compétenses à deux médecins généralistes assistés par six infirmières, à un psychologue et un sosiologue à charge pour eux d'évaluer le comportement des enfants et des adolescents du quartier, d'en relever les anomalies, d'en définir les causes et d'en appeler aux interventions des uns et des autres pour y remédier, d'autre part une importante section de formateurs dans diverses disciplines sportives devrait avoir ses quartiers au sein de la ville pour veiller plus particulièrement au rayonnement des activités sportives comme matières comptant pour tous les examens avec un coefiscient assez élevée parce qu'elle constituera un cursus universitaire de choix. L'école, elle, présente trois aspects négatifs; l'insuffisance des classes dont la musique est absente; l'absence ou l'insuffisance et la malpropreté des sanitaires et des douches pour garçons et pour filles dont l'entretien et le fonctionnement seraient infaillibles ; l'absence des installations sportives . La bibliothèque du quartier qui comprendrait un espace pour l'aquisition et la lecture du livre, et un autre pour l'outil informatique est indispensable pour une merilleure incitation à la rationalisation du temps aussi bien pour les enfants que pour les parents, et en y adjoignant une cafétéria, une restauration rapide dans un espace vert, tous les habitants du quartier voudraient s'y associer avec grand plaisir; parmis les infrastructures culturelles de base de la ville figure en tête la piscine olympique couverte, qui est l'un des éléments clé du maintien en bonne santé de la population dans une ambiance saine et conviviale. Les infrastructures liées à la formation professionnelle seraient l'édifice le plus salutaire qui assurerait une meilleure constance des activités que les jeunes, en proie à l'échec, à l'indécision ou à l'incapacité d'entamer le cursus universitaire, auraient à soutenir pour des aboutissements effectifs et rentables aussi bien pour les individus que pour les groupes de société. C'est pourquoi chaque ville devrait, selon les métiers qui conviennet aux besoins locaux et régionaux, se doter d'écoles de formation.
Le but d'une bonne éducation et d'un enseignement pragmatique est de faire aboutire le plus possible de jeunes citoyennes et citoyens à des niveaux de conceptions et d'innovation, c'est pourquoi l'enseignement devrait être reconsidéré à partir de l'âge de la maternelle, celle-ci, en sa qualité d'établissement spécifique est pratiquement inexistante au niveau des quartiers populaires qui représentent les trois tiers des habitants . L'échec de l'action de l'éducation et de l'enseignement n'est pas une fatalité, il résulte des choix politiques totalement inadaptés aux vécus réels de la société; les droits de la femme doivent être acquis de manière indiscutable et inconditionnelle, et par dessus tout son respect et son estime sont une exigence morale délibérée qui, s'ils ne lui sont pas manifestés, c'est que les hommes font preuve d'ingratitude envers elles, mais nous avons les femmes qui travaillent, celles qui sont illetrées et celles qui ne sont pas assez éclairées, c'est à dire qui ne sont pas indépendantes de caractère et donc facilement influencables par leurs parents et la société féminine de leur entourage, toutes ces femmes, et Dieu sait qu'elles sont très nombreuses, sont soit indisponibles pour vaquer aux tâches de conditionnement de l'éducation active, soit ignorant les tenants et les aboutissants des besoins et des moyens d'éduquer, c'est à dire d'assurer le développement de toutes les facultés dans l'ordre qui sied à la nature humaine. C'est particulièrement à ce stade que la stratégie politique bute sur le doute de la véracité de la bonne intention et l'arrogance des représentants arrivistes; la preuve en est l'effronterie des slogants au su et au vue de tout le monde alors que la réalité présente une absence totale de la première institution officielle qui serait réelleemnt en mesure d'entamer le processus éducatif le mieu indiqué en usant de moyens scientifiques les plus performant et faire du bébé d'aujourd'hui un future citoyen doté de capacités physiques et intellectuelles à même de réussir les défis qui ne cessent de se poser et de se renouveller,le droit de la femme le mieux indiqué est de l'assister légitimement le long du parcours le plus épineux de l'éducation physique, sensorielle,psychologique, morale, intellectuelle et religieuse, et ce depuis la naissance de son enfant jusqu'à l'âge de majeurité, car la famille, en sa qualité de cellule qui représente les fondements de la société, a besoin d'un accompagnement de proximité aussi riche que varié pour s'assurer que son arbre généalogique produira les branches les mieux porteuses pour l'avenir du pays. Aujourd'hui, femmes et hommes ont besoin de travailler dur pour s'assurer une bonne assiette budgétaire qui leur permettrait de payer les frais de l'éducation; et c'est aux décideurs politiques de créer cette multitude de services que les citoyens doivent s'assurer dans un cadre légalement prescrit et rémunéré et professionnellement perfectible et progressif.
L'éducation et l'enseignement sont, comme la religion,incompatibles avec la corruption, la malhonnêteté,le monsonge, la cupidité etc...Une femme qui porte son enfant dans son ventre assez longtemps pour apprécier suffisemment la vie, qui souffre atrocement pour le mettre au monde devrait naturellement mepriser ces vilains défauts, les execrer et faire en sorte que jamais, plus jamais elle ne les toléreraient dans l'environnement où naittrait son enfant, ni dans celui de son travail ni partout où elle aurait à partager quoi que ce soit avec autrui, eu égard aux capacités psychologiques les plus pénetrantes dont elle est naturellement douée, la femme, loin d'être la rivale de l'homme, est le compagnon qu'elle entreprend d'asservir attentivement et de sensibiliser à l'harmonisation des intérêts communs dont les enfants deviennent le résultat d'une longue et fructueuse convivialité,d'une estime réciproque qui fait perdurer la quiétude et ensemenser la bonne graine d'une meilleure et généreuse descendance; pour ce faire, elle doit se rendre compte que sans elle, à la base, comme élément propulsif des choix et des tâches pour lesquelles enfants et époux devraient s'élancer sans tergiversations et faire en sorte de les maintenir sur la voie tracée pour que la noblesse de l'esprit concourt activement à l'épanuissement et au bonheur de tous dans le climat le plus propice à l'échange sous la bannière de l'affection instructive et constructive de la femme, de la mère, de l'épouse, de la moitié sans laquelle la vie ne se prolongerait pas aussi longtemps pour l'espèce humaine. Si la société des hommes est corrompue, la femme n'est pas pour autant inoscente, bien plus, elle en est la principale instigatrice , car avant de devenir homme,c'est elle qui l'a mis au monde, qui lui a insufflé les rudiments de base qui ont contribué à la formation de son caractère, aux tendances qu'il affectionne et à l'état d'esprit qui caractérise son ostentation, c'est encore elle qui lui fait aimer son père, ou douter de sa personne, ou l'en écarter comme autorité effective et n'en sceller que le lien biologique pour les besoins d'ordre simplement materiel; la preuve en est le faste avec lequel elle s'évertue à paraitre en toute circonstance et quel que soit le prix que ca coute, même si c'était au detriment de l'époux et des enfants .
L'éducation est un processus enclanché par la mère, lequel est sensé être soutenu soit par cette dernière qui fait fonction de femme de foyer, et dans ce cas le collectif des femmes à l'echelle nationale n'a pas pu, jusqu'à maintenant, contribuer concrétement à l'émergence d'une action sociale active de proximité, avec à la clé une rémunération digne de sa fonction et de son état, de manière à ce qu'elle bénéficie de l'indépendance matérielle vis-àvis du marie et de la société en général pour pouvoir s'occuper aisément , en toute confiance et sécurité, de son enfant, aussi bien au niveau de la maison qu'elle transformera volentier en atelier didactique dans le cas où cette dernière est lettrée et en mesure de fructifier toutes les données éducatives à même de rassénérer l'enfant dans sa quète réceptive, au niveau de la voie publique où il sera continuellement en sa présence, ou alors à l'école où elle veillera à ce qu'il sera mieux encadré; soit par l'école maternelle qui, malheureusement, fait défaut, parce que le collectif des femmes, en terme politique,n'a pas utilisé le moidre de ses potentiels pour s'affirmer en partenaire politique indispensable aux cotés de son homologue l'homme pour la simple raison que l'intention qui s'accorde naturellement à ses prérogatives n'est pas aussi intègre qu'on ne pense. L'école maternelle constitue la seconde et importante résidence de l'enfant quant il est appelé à quitter le foyer où il est né, c'est un établissement dédié à l'éducation qui est géré, tenu et utilisé uniquement par des femmes specialement formées pour prendre en charge et satisfaire aux besoins des nouveaux nés, dont les mères travaillent ou illettrées; tant que l'importance toute vitale n'est pas accordée à cet établissement qui recoit dans un cadre propre, serein,quiet et entouré de l'attention, de l'affection et d'un savoir faire digne du future citoyen de son pays, la réforme de l'éducation ne se faira jamais, car ou elle est radicale et dans ce cas tous les moyens lui sont offerts pour réussir, ou elle est palliative et alors elle se remettra continuellement en question.