De chaque côté de la barrière( histoire d'amour) prologue, premier chapitre

Je ne sais pas ce que sa vaut et pardonner les fautes:

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Prologue:
Je m’appelle Casilda, je sais ce nom est bizarre. Maman m’a dit qu’il était espagnol. J’ai huit ans, blonde aux yeux bleus, mes cheveux sont bouclés à l’anglaise, je sais que c’est impossible mais je ne l’ai pas demandé, tous le monde dit que je suis le portrait de ma mère. Je suis mince, athlétique, agile, intelligente et j’adore lire .Nous habitons en Italie à Florence, maman, papa et moi dans une grande maison qui appartient à ma famille depuis des générations. Elle est construite sur un modèle d’une abbaye, mais que vu de l’extérieur, car elle n’était pas coupée du monde, loin de là. Le jardin fermé était l’endroit que je préférais, il était construis à la française, un grand bassin où nageaient des poissons et des grenouilles se trouvait au centre du jardin. Des arbres dont je ne connaissais pas le nom et des vignes enferme la maison de l’intérieur. Des carrés d’herbe bien délimités formaient des formes géométriques tout en étant symétrique. J’admirais les poisons quand papa m’appela, il avait l’air pressé et je me dépêchais de rentrer. Je couru dans les immenses couloirs baigner de soleil, je savais où il m’attendait depuis quelques minutes. Papa était devant la chambre de maman. Il me regarda tendrement.
- Elle t’attend, me dit-il.
Je fis un signe de tête et entra dans la chambre, elle me parut froide et triste. Les rideaux violets étaient tirés, je ne distinguais que la sombre armoire, la table de chevet et le grand lit au bout de la pièce. Je m’avançai lentement vers le lit. Je ne vis qu’une tête rouge et transpirante, les yeux bleus de ma mère ne brillaient plus de la même manière et ses longs cheveux blonds mouillaient par La transpiration ne me rappela même plus les champs de blés des villages voisins. Je déglutie, j’avais peur et je ne parviens pas dire un mot.
- Casilda, ma chérie écoute moi attentivement.
Je voulus dire quelque chose mais elle m’en empêchât.
- Tu me ressemble beaucoup mais tu es aussi une certaine perfection alors promet moi de faire attention à toi. Tu ne pourras faire confiance à personne, tu n’auras que quelques amis et une seule personne ne pourra t’aimer. Je vais bientôt partir, se n’ai plus qu’une question d’heure.
- Non maman, tu te trompes se n’est pas pour maintenant, dis-je des sanglots dans la voix.
- Ne retiens jamais les gens quand vient leur tour de mourir, dit-elle dans un dernier souffle.
Elle ferma les yeux et s’endormit à jamais à côté de moi qui lui serrais la main. Combien de temps c’est écoulé ? Combien de larme ai-je coulée ? Le monde était flou, je me levai et partie en courant. J’ouvris la porte de la maison. Je ne voulais plus rester ici, je ne pouvais plus rester ici. Je courus sans me rendre compte du chemin parcourus. Après un temps indéfinis, je me retrouvais sur une colline. La vue était magnifique, on pouvait voir les clocher des églises et les cheminées qui fumée à travers la brume de se mois de janvier glacial, le vent sifflait à mes oreilles et j’apercevais même les montagnes au loin. Je m’assis et scruta l’horizon, je crois m’être endormis. Le lendemain matin, je me retrouvais dans mon lit. Papa entra dans ma chambre sans frapper. Mauvaise nouvelle.
- Demain aura lieu son enterrement, prononça t’il du bout des lèvres.
- A quelle heure ?
- 10 heure, soit prête.
Dès qu’il partit de ma chambre, des larmes coulèrent de mes yeux. Je n’avais plus ca lire pour faire passer le temps.
Le lendemain à 10 heures, nous nous dirigeâmes vers le cimetière. Le ciel était gris, il allait surement pleuvoir. Tes tas de personnes que je ne connaissais pas était là, je ne savais pas que maman avait autant d’amis. Bientôt le prêtre arriva et la cérémonie commença. Quand le cercueil fût mis au fond la fausse, je ne pus me retenir de penser que pour terminer sa vie dans la terre dans un coffre en bois autant ne pas vivre du tout. Tout le monde se dirigea vers la maison, apporta quelque chose et dire leurs condoléances. Ne supportant plus cette atmosphère, je repris le chemin du cimetière. Je me retrouvai devant la tombe de maman, ne sachant que faire, je restai debout en regardants la tombe. C’est à ce moment là que je le vis pour la première fois, il était devant une tombe le regard vide mais il était beau avec ses cheveux de jais en bataille, j’avais l’impression que ses yeux brillaient tellement que je pouvais en deviner la couleur, du vert et il semblait avoir mon âge. Je voulais aller vers lui mais quelque chose m’en empêcha et puis de toute façon je ne le reverrais surement jamais alors, je revins sur mes pas mais je ne savais pas que je me trompais lourdement

Chapitre 1 (début)

Le réveille sonna, c’est l’heure d’aller au lycée. Je m’habillai en vitesse, pris mon sac et partie. Le lycée est bien le plus belle endroit que je connaisse, il y a mes amis, mon parfait petit ami populaire, mes suivants et bien sûr ma popularité. J’étais se qu’on peut appeler la reine du lycée et Mike le roi. Mike est mon petit ami depuis quatre mois mais je ne crois pas l’aimer. Enfaite, il y a toujours l’image de cet inconnu huit ans plus tôt au cimetière. L’eau avait coulé sous les ponts, mais je n‘arrivais pas à l’oublier. Il doit bien être quelque part, à moins qu’il ait quitté la ville. Et puis, je dois l’oublier, cela vaut mieux. Je ne connais pas son nom, je ne sais pas ou il habite et le jour où je le rencontrerai par hasard je ne le reconnaitrai surement pas. Bref, j’arrivai devant la haute grille. Les murs extérieurs gris n’étaient pas très accueillants mais à l’intérieur, se n’est pas si mal. Les vieux murs jaunes sals ne se voyaient presque plus à cause des casiers bleus clairs et bleus foncés qui les recouvraient. Mike arriva avec son eternel sac sur une épaule. C’était le mec le plus mignon du lycée et le plus populaire apparemment. Alors c’était jugé normal que je sorte avec lui. Moi, je le trouve commun, dans les un mètre soixante-quinze, les cheveux et les yeux bruns et un sourire qui faisait apparaitre des dents blanches horriblement banals.
- Salut chérie, me lança t-il avec son sourire qui les faisaient tous craquée.
Je nue même pas le temps de répondre qu’il me prit par la taille ou plutôt qu’il me força à être collée contre lui et me fourra sa langue dans ma bouche, il n’y a pas de mot plus juste pour décrire cela. Le rituel du matin et rien que dis penser me donnais des envies de nausée. Toutes les filles m’enviaient et j’aurais donné ma place à n’importe laquelle. Je sais, je devrais rompre avec lui. Tous les matins je me dis que c’est pour aujourd’hui et puis je le reporte à un autre jour. Ce n’est pas que j’ai de la peine pour lui, il s’en remettra et en moins de trois jours, il y en aura une autre, mais je n’arrive à aborder le sujet le sujet et à chaque fois qu’il essaye de me voir en dehors des cours, je trouve un prétexte pour me défilé. Mais demain, promis je le ferais. Je vis Jade et Blake arrivaient. Se sont mes meilleures amis ou mes seuls vrai amis, c’est dur à dire. Jade est vraiment mon contraire, elle a des yeux verts émeraudes, les miens sont bleus saphirs, une peau blanche, la mienne est dorée, des cheveux bruns et raides et les miens blonds et bouclées, mais elle était pour ma part, magnifique. Mais se n’est que physiquement que nous étions différentes, nous étions vraiment d’accord sur pratiquement tout. Blake, lui avait les apparences du beau ténébreux, les cheveux coupés court noir, des yeux bruns sombres et très souvent des lunettes de soleil comme aujourd’hui, mais se n’est que en apparence car il riait tous le temps, il est toujours le premier à sourire, à faire des blagues et à détendre l’atmosphère quand sa ne va pas bien, mais c’est aussi un ami, auquel on peut se confier et pleurer sur son épaule, il comprend les gens et les aides comme il peut. Nous trois, on formait les trois mousquetaires inséparables. Mais on sait rencontrer par hasard. Nous nous sommes inscrit dans le club d’athlétisme et comme nous étions les meilleurs, le coach voulait qu’on se rencontre car en fonction de nos heures libres, les heures d’entrainements n’était pas les même. Mais aussi car tous les trois, nous nourrissions l’ambition de devenir mannequin professionnel. Moi, je tiens se rêve de ma mère qui étai mannequin avant de se marier à mon père. Blake, car son père est photographe mais se n’est pas son genre d’être derrière les projecteurs. Et Jade, car le mannequinat la toujours intéressé et elle idolâtrait les mannequins.
- Salut sa va ? me demandèrent mes deux amis en même temps.
- Très bien, et vous ?
- Super, répondirent t-ils en cœur.
Je les regardai bizarrement avec un petit sourire. Ils étaient toujours super synchro pour répondre, et étaient toujours d’accord sur tous mais sa ne les empêchaient pas de se disputer toute la journée.
- Quoi ? me demanda Jade
- Oh rien.
- Va y, dis ce que tu as à dire, me dit Blake légèrement moqueur.
- Je trouve que vous irez très bien ensemble.
- Moi avec lui, s’indigna Jade, mais tu as bu quoi avant de venir.
Blake s’étranglait de rire à côté de moi. Je lui lançai un regard complice, je savais qu’il était amoureux de Jade depuis longtemps mais refusait catégoriquement de le lui dire. Mais Jade lui rigolerait au nez si il le lui disait. Ma meilleure amie me regarda froidement, elle détestait que je lui parle de sa vie sentimentale. Elle faillit me lancer une remarque acerbe mais la sonnerie retentit sans lui laissait le temps de commencer sa phrase.
- Sauver par le gong, me murmura Blake à l’oreille.
- On n’a quoi comme cours ? Demandais-je en guise de réponse.
- Anglais, me répondis Jade froidement
- A quoi sert se cours si on sait déjà parler anglais couramment, soupirais-je.
- Mais votre présence nous est indispensable mademoiselle, me dit ma prof d’anglais, maintenant, si vous vouliez bien nous faire l’honneur d’entrée dans ma salle de class, vous et vos acolytes.
- Mais bien sure madame, répondis-je avec un grand sourire
A la fin de l’heure, je me rendis à la bibliothèque du lycée pour mon cours privée avec un certain Félix Mitch, un garçon petit et potelé, d’une arrogance particulière que je ne pouvais pas supporter. Toujours a essayé de chercher la petite bête à la moindre chose que je fessais. Et surtout à me narguer comme si le monde lui appartenait. Toujours accompagnée de Jade et Blake, elle me demanda :
- Tu te rends compte que sa fait presque un mois qu’il essaye de t’apprendre quelque chose, quand es-ce-que tu vas le rendre tellement fou, qu’il en demande sa démission.
- Bientôt, répondis-je les dents serraient, ce soir ou demain, clamais-je dans éclat de rire suivit de se de mes amis.